Elle peut vous rassurer en calculant pour vous des dérivées, des intégrales, des développements limités, voire asymptotiques, faire des décompositions en éléments simples, des divisions euclidiennes de polynômes… et ce n’est encore que la face émergée de l’iceberg car avec quelques programmes en plus, elles peuvent souvent faire des diagonalisations de matrices, des études complètes de coniques voire de courbes paramétrées, y compris la recherche des points multiples.
Bref, en maths, elles peuvent beaucoup !!
Mais bien sûr, elles sont aussi indispensables en physique, ne serait-ce que pour les applications numériques, mais aussi pour l’analyse dimensionnelle, voire, pour les plus malins, pour le calcul automatique des équations différentielles lorsqu’on donne un circuit électronique, puis la résolution de ces équations. Elles peuvent bien entendu calculer aussi des intégrales doubles ou triples, des gradients, des divergences, etc.
Enfin, en chimie, elles ne sont pas en reste puisque l’on peut s’en servir en cinétique pour déterminer l’ordre d’une réaction par régression, ou encore pour équilibrer une équation-bilan automatiquement, et bien sûr pour les calculs numériques de pH et autres pKa…
Alors maintenant que vous êtes (normalement) convaincus de l’utilité d’une calculatrice, laquelle choisir ?